« Ce qui nous arrive était prévisible. Une paresse cérébrale s’est emparée de nous. Plus de livres : les romans policiers sont même devenus une fatigue intellectuelle trop grande. Plus de jeux ; des réussites, à la rigueur. Même le cinéma enfantin ne nous tente plus. Pendant ce temps, les singes méditent en silence. Leur cerveau se développe dans la réflexion solitaire… et ils parlent. »
(La Planète des Singes / 1963 / Pierre Boulle)